lundi 25 avril 2011

Pause-tristesse

à durée à déterminer ou pas ...





Plus on meurt, plus on a à renaître.

Mais savoir aussi la souffrance du passage, l’indicible souffrance, la souffrance qu’on sait absurde parce qu’elle n’est pas un moyen, pas un moyen pour une fin...On ne sait pas ce qu’il en sortira, de grand ou de petit. Savoir qu’on ne sait pas.

Et consentir pourtant

Texte écrit par Aléna

21 commentaires:

  1. Plus on meurt, plus on ténèbre
    plus on souffre, plus profond est le gouffre
    reste l'espérance d'une renaissance

    RépondreSupprimer
  2. Oh ! je comprends que dans le chagrin on préfère se taire... . Le blog, même si on ne s'y dévoile pas directement est une exposition. Il faut se poser et se re-poser. Je suis de celle qui se retire quand ça va mal, il y en a d'autres qui préfèrent s'étourdir... je te tiens de loin par la main : so-li-da-ri-té... même si je ne sais rien de ta tristesse... je m'y sens proche. je t'embrasse.

    RépondreSupprimer
  3. Ma prescription du moment : Tous à Chaumont sur Loire ! Comme je le disais à Godebsky-bellou, là-bas les hommes et les plantes ont décidé de se parler, et ça fait un bien fou. Epatant contre (et pour) nos grandes tristesses. Car la tristesse c'est en nous, comme là joie.
    http://thaddee.over-blog.com/article-chaumont-sur-loire-72527492.html

    RépondreSupprimer
  4. Je te souhaite toutes les renaissances du monde, Saravati. Que demain soit un autre monde. Tous y sont descendus, dans l'enfer, l'Hadès, etc. Je te souhaite le courage qu'il faut pour s'affronter soi-même...
    A bientôt, j'espère.

    RépondreSupprimer
  5. :*........et :*.......et puis :*..... j'espere que tout va birn aller.... je serai là à ton retour.

    RépondreSupprimer
  6. @ JEA
    Suivre en cela les recommandations d'Aléna que j'ai un peu escamotées, il est vrai.

    @ K-role
    simplement merci, je t'embrasse, moi aussi !

    @ Thaddée
    Se changer les idées dans un beau jardin, profiter de la caresse du soleil, du parfum des fleurs ...merci, docteur !

    @ Aléna
    un superbe encouragement, Aléna et savoir que l'on ne parle pas dans le vide même si les paroles sont virtuelles !

    @ L.E.
    Porte-toi bien toi aussi, je ne serai jamais très loin !

    RépondreSupprimer
  7. Et si tu faisais une pause sans tristesse ?
    Va sur le pont tout là-haut et tu verras qu'avec le vent, ta mélancolie va s'envoler...
    A bientôt !

    RépondreSupprimer
  8. Jean-Claude Pirotte :

    - "La mort nous a quittés... un matin de brume rayonnante, aux confins de l'enfance et de la terreur."

    RépondreSupprimer
  9. Apprivoiser la tristesse car c'est un petit animal qui nous suit toujours même si parfois on l'oublie...

    RépondreSupprimer
  10. @Virginie
    Le temps qui nivèle ...à bientôt !

    @ JEA
    Cette association d'enfance et de terreur ... c'est dans l'enfance que naissent les premières terreurs, il est vrai. On n'arrive jamais à s'en débarrasser tout à fait.
    Merci JEA, c'est une belle pensée !

    @ Marcelle
    Vivre avec pour mieux la détourer ...

    RépondreSupprimer
  11. Chagrin de pierre, comme caillou au soleil !

    RépondreSupprimer
  12. Je viens déposer des petits bouts de soleil , ils viendront doucement te réchauffer ici et là ...
    Gros bisous remplis de tendresse ...

    RépondreSupprimer
  13. Bonsoir,
    je vous suggère de sortir de cette "tristesse" et reprendre cette activité si dynamique pour le coeur et l'esprit qu'est l'écriture...
    Bonne soirée.

    RépondreSupprimer
  14. Je crois que la vie est faites de petites morts, comme autant de renaissances...
    Je te souhaite de trouver ce qui te fera sourire.
    Pensées.

    RépondreSupprimer
  15. trop longue cette tristesse !!! mince. bisous.

    RépondreSupprimer
  16. C comme Corinne9 mai 2011 à 20:20

    Très beau texte. Il faut savoir se laisser tomber pour se relever. Griffer des ongles les parois de la tristesse pour aspirer l'air des sommets.
    Il faut oser cela et accepter demain.

    RépondreSupprimer
  17. La nuit n’est jamais complète
    Il y a toujours puisque je le dis
    Puisque je l’affirme
    Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
    Une fenêtre éclairée
    Il ya toujours un rêve qui veille
    Désir à combler faim à satisfaire
    Un coeur généreux
    Une main tendue une main ouverte
    Des yeux attentifs
    Une vie à se partager.

    Paul Eluard (Le Phénix, 1951)

    RépondreSupprimer
  18. Le soleil est très présent ici, il est certain que quelque part vous le voyez aussi.
    Excellent début de semaine !

    RépondreSupprimer
  19. Et une pensée... après le soleil de versus.

    RépondreSupprimer
  20. @ Tous
    Merci à vous pour vos mots réconfortants.

    RépondreSupprimer
  21. Une goutte parmi toutes ses pensées , une lune pour éclairer la nuit accompagnée des étoiles pour valser et te réconforter ... Des petits pas sages sur un nuage d'amour .... Des sourires pour te dire que je suis là... Des murmures pour te souffler à l'oreille que les demain sont soleil ...
    Gros bisous affectueux sur tes joues :)

    RépondreSupprimer