Le ciel était plombé et la mer était blanche.
A travers les gouttelettes éparpillées sur la fenêtre du train qui s’essouflait
À l’approche d’une gare supposée proche
Je voyais ces oiseaux gris
S’attarder les pieds au froid
Installés comme pour un festin
Aux senteurs d’herbes durcies
La prochaine gare : "Le Capitole" ?
RépondreSupprimerImages fugitives. Derrière la vite du train, un monde impalpable.
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RépondreSupprimermer blanche
oiseaux en gare
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Jeu de l'oie pour faire passer le temps...
RépondreSupprimerLes grands volatiles noirs
RépondreSupprimerqui picorent la mer.
c'est joli cette mer blanche jusqu'à l'horizon
RépondreSupprimerD' un blanc qui bouge sa lenteur, des points noir vous crépitent dans les yeux,le vent siffle plus que trois fois !
RépondreSupprimerles oiseaux sur terre entre ciel et mer
RépondreSupprimerDe la fraîcheur que l'on a envie de déguster comme une glace !
RépondreSupprimer@ JEA
RépondreSupprimerSuivre les oiseaux zélés …
@ Danièle
Cette poudre qui amortit les bruits d’oiseaux
@ Marcel
Trop tard pour partir vers le sud !
@ Les Héphémères
Jolis pions en effet !
@ Gilbert
Nourritures terrestres qui ne réchauffent pas.
@ Mu LM
Sans vagues, calme absolu …
@ versus
Jusqu’à l’alcanuit !
@ Gilbert
Ils surnagent sans voler
@ Virginie
Senteurs craquantes mais peu parfumées !