mardi 15 mars 2011
Fossette tienne
Quand tu souriais au loin
J’imaginais
Carrefour de ta bouche en cœur
Cette fossette tienne
Aperçue au seuil du
Crépuscule
Sous les réverbères juste
Éveillés
Les pavés gris
Irradiaient mille lucioles
Reminiscences pluviales
Ou crépitement de nos yeux
Tes mots éclatants
Battant rythme
Ce grand soir
Historique en nos cœurs
S’est éteint
J’ai cru en d’autres
À renaître
Que l’avenir aussi
Tracerait convergence
Mais ta fossette
Avec ton sourire
Furtives siamoises
S’étaient évaporés
Tes mots éclatants
Éclatèrent
En mille débris
Épars
Je perdis le fil ténu
De tes traits
Cette douce habitude
T’attendre
T’entendre
T’apprivoiser
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Wait and see.
RépondreSupprimerLorsqu'une fossette et un sourire répondent à un autre sourire :)
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ta poésie toute personnelle, et surtout le dernier mot : apprivoisé :)
Ou alors, wait and... wait ;) De jolis mots pour des maux...
RépondreSupprimerla fossette
RépondreSupprimerce pli-gouffre
où l'on se noie
la fossette une pliure de charme
RépondreSupprimerCe plis au creux d'un souvenir ...
RépondreSupprimer@ Marcel
RépondreSupprimerNothing else to do, isnt'it ?
@ Geneviève
Merci de m'encourager dans ma tentative d'apprivoiser ...les mots ! Bienvenue, Geneviève.
@'Ötli
Ces maux qui nous font parler !
@ Gilbert
…il est des puits plus profonds !
@ Gérard
un charme inégalé, on ne sait pourquoi !
@ Les Héphémères
Ainsi naissent les rides !