Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir... ♪♪♪ Quant à la musique, une préférence pour "I'm so tired" tout court des Beatles :) http://www.youtube.com/watch?v=ZodBYQ4pJ0M
@ Patrick J'ai déjà entendu cela quelque part. Merci pour le lien, ce que j'ai aimé dans la chanson d'Al Green, c'est le rythme qui donne à des paroles tristes un sursaut d'énergie.
@ Gérard La musique est aussi "un cri qui vient de l'intérieur" elle a la couleur qu'on lui accorde dans le moment de l'écoute !
@ Tania Ce que vous releveez sur les lumières de la ville me fait penser à un extrait de P.F. Thomèse : " Y-a-t-il des gens qui habitent derrière ces centaines de fenêtres vides ou bien sont-ils là, ces grands bâtiments seulement parce que c'est une grande ville et qu'ils doivent s'y trouver ?"
@ Marty Au moins attendre le lever du jour pour que les lumières du jour estompent les lumières ombrées de la nuit ...
@ Phil Sans lumières à crochets, on aurait vite marre de la mare noire :-)
La solitude en ville est relativement anonyme et ce n'est pas plus mal. Les lumières s'allument en contraste. On vit parfois en alternance. La nuit fait disparaître la grisaille.
Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir... ♪♪♪
RépondreSupprimerQuant à la musique, une préférence pour "I'm so tired" tout court des Beatles :) http://www.youtube.com/watch?v=ZodBYQ4pJ0M
La musique n'a pas de couleur elle s'écoute avec plaisir..
RépondreSupprimer@ Patrick
SupprimerJ'ai déjà entendu cela quelque part.
Merci pour le lien, ce que j'ai aimé dans la chanson d'Al Green, c'est le rythme qui donne à des paroles tristes un sursaut d'énergie.
@ Gérard
La musique est aussi "un cri qui vient de l'intérieur" elle a la couleur qu'on lui accorde dans le moment de l'écoute !
Si la musique n'a pas de couleur elle a des vibrations et que sont les vibrations si ce n'est de la couleur ?...
SupprimerOh, vous savez que les couleurs, ça se discute pas...
SupprimerLes lumières de la ville ne peuvent rien contre la solitude, mais on s'y sent parfois moins seul en voyant les fenêtres s'éclairer.
RépondreSupprimerIllusoire ?
parfois les lumières se prennnent à grandir
RépondreSupprimerpour redonner l'espoir
S'accrocher à la lumière et signer la mare noire...
RépondreSupprimer@ Tania
SupprimerCe que vous releveez sur les lumières de la ville me fait penser à un extrait de P.F. Thomèse :
" Y-a-t-il des gens qui habitent derrière ces centaines de fenêtres vides ou bien sont-ils là, ces grands bâtiments seulement parce que c'est une grande ville et qu'ils doivent s'y trouver ?"
@ Marty
Au moins attendre le lever du jour pour que les lumières du jour estompent les lumières ombrées de la nuit ...
@ Phil
Sans lumières à crochets, on aurait vite marre de la mare noire :-)
La solitude en ville est relativement anonyme et ce n'est pas plus mal. Les lumières s'allument en contraste. On vit parfois en alternance.
RépondreSupprimerLa nuit fait disparaître la grisaille.
J'aime ton image tout droit sortie d'un songe et tes mots qui l'accompagnent !
RépondreSupprimer@ Michèle
SupprimerSauf en cas de brouillard :-)
@ Fifi
Tu sais à quel point les photos peuvent être inspirantes ...