J’ai beau chercher
Dans les
sangs blancs de sous-vent n’ire
Je n’arrive
pas à détecter le mot ment du glisse-ment
Le pas nul-time
qui fit dé-faillir.
Nous étions
si bien et je ne m’attendais qu’aux miel-heures
Cela aurait
pu durer presque jusqu’à une éter-nuitée.
Partie
quelques ajours
je t’éperdu
de vue.
Quand je
suis revenue tu avais presque complètement dis-jonc thé
Sans la
moindre explication.
Notre
univers collectif s’était reste-train
Jusqu’à
peau de chat-malangrin
Que même
les mots n’arrivaient pas à trouer…
Entre les
cils lances des actes de constriction
Je me
demande
Encore
quels torts
j’ai semés
Pour de si
tardives vendanges …
Petit clin d'oeil à Veronica dont j'essaie en vain d'imiter la virtuosité avec laquelle les mots se jouent d'elle et de nous !
Petit clin d'oeil à Veronica dont j'essaie en vain d'imiter la virtuosité avec laquelle les mots se jouent d'elle et de nous !
Le questionnement n'évite la fin alors tourner la page me semble approprié en se disant qu'un tel personnage ne mérite pas notre mépris.
RépondreSupprimerBises
Il y a des trains qui se croisent dans les gares puis repartent sans jamais plus faire d'escale en commun.
SupprimerPourquoi éprouver du mépris ? Le rêve même s'il est volatil n'est jamais méprisable. J'aime beaucoup cette chanson ! Bisous.
Merci ...
RépondreSupprimerJe suis très touchée ...
Oh non je ne me joue pas de vous ! sourire
Toi, avec ton style, âmie poète, tu sais exprimer le miel-heure de toi-même, et j'aime tes lyres, ces d'elle ires parfois, art jamais tordu, à raison ! Arrêtons-nous un instant sur le son oui ! Merci d'avoir choisi le "nous gare eau" des bords de ma Garonne ...
Laids, perdus de vue, on les laisse, on tourne la page, quel bol d'art ensuite naisse pas ! Oserais-je dire que c'est "con plie quai " le couple ! :) ne pas trop se repentir, garder son âme en tendre pour d'autres nus nid verts à venir au printemps ...
J'aime te faire sourire, peut-être dessous venir, qui sait, femme miss terre rieuse ! Merci, merci en corps, te quitte en rêve-errance ...
Le silence c'est bien, mais uniquement quand il est entrecoupé de preuves d'amour...
RépondreSupprimerSuperbe votre photo, on dirait un tableau surréaliste !
Peux-tu me parler de cette belle photo qui m'intrigue ...
RépondreSupprimerDu bois de vent d'ange ?
Du petit bois renaissance ?
Le feu avant la fête ?
Le passage des Sioux ?
Gros bisous sur un char des matines ...
je vous propose de partager une bouteille de Saint et Millions ?
RépondreSupprimerUn chat grain... joli ment dit!!!
RépondreSupprimerje passe te saluer en ces temps difficiles
RépondreSupprimerPoignant! Je suis admirative devant tant de poésie!
RépondreSupprimerEt la photo illustre si bien les mots!
Merci Saravati de cet émouvant partage
@ Veronica
SupprimerMerci à toi pour tes mots qui donnent le tour-nid , en suie toute dé sable élizée.
La photo, juste une structure d'ébauche de tipi, tronc d'arbres et peaux de rennes, confection sami !
Au lieu de photographier le grand tipi, je me suis attachée aux dés tailles :- ) amichalement !
@ Claire
Parfois le silence n'est accompagné que par des preuves de lui-même :-)
Merci pour la photo qui ne doit rien à ma peinture, juste une copie du réel !
@ JEA
Que je partagerai volontiers avec vous :-)
@ :-)
Les chats grains ne sont pas tous à caresser à rebrousse-poil !
@ Cactus
J'ai vu que tu avais fermé ton blog à moins qu'il ne soit réserver aux inis niais :-)
Je suis bien triste de la disparition de Dominique C. son humour décapant, son auto-dérision, sa sensibilité foudroyante nous manqueront énormément !
@ Kenza
Merci à toi d'accepter de me lire et bonjour à ta charmante princesse, bon week-end au coin du feu !
Superbe ! drôle et effroyable à la fois car si proche de la réalité. Du grand art...
RépondreSupprimerMerci Corinne, je te souhaite de joyeuses fêtes de Pâques.
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