Bien que le
climat du nord et des accents germaniques
Présentaient
quelques similitudes
C’était
juste une rue longeant le canal pollué
Où se
baignaient parfois des résidus de pneus
Venise du
Nord détrônée
C’est
là-haut sur le pignon à redents qu’il se tenait perché
Sa musique attire-elle
encore les enfants
Eux qui perdent
leurs regard sur leur portable ou leurs jeux électroniques
Munis de
leur oreillette dernier cri
Où chahutent
leurs goûts plutôt hétéroclites
Les enfants
penchés ont-ils encore cette faculté de lever les yeux
Quand la
lumière à son paroxysme
Révèle tant
de beauté ?
Si ce n’est
en plongeant dans l’œil d’un télescope géant ?
Les rats,
ces ennemis du monde
À
l’intelligence presque humaine
Ont-ils disparu
Victimes de
génocide chimique ?
Une Vénus détrônée reste toujours sur un mont Divin!
RépondreSupprimerC'est à nous, justement, de guider les yeux des enfants vers la beauté (ou l'originalité) de ces éléments architecturaux.
RépondreSupprimerPour les rats, je ne sais pas, mais les enfants, oui, ils ont toujours les yeux vifs et l'oreille claire. Rien ne pourra jamais les empêcher d'être des enfants.
RépondreSupprimer@ versus
SupprimerJoliment exprimé !
@ Claire
Les yeux des enfants sont aujourd'hui tellement captivés par d'autres architectures, puissent-ils ne pas se limiter à ces dernières ...
@ Carole
Peut-être que les enfants ont avant tout besoin du regard de ceux qui les aiment et leur consacrent de l'attention !