Un jour il avait disparu
Je me demandais encore s’il avait existé.
Dans le garage, sous le diable, une paire de chaussures témoignait
D’un semblant de matérialité.
Sinon, rien
Des mots couverts d’impatience
Des gribouillis incompréhensibles
Des feintes idiotes
Mais de souvenirs visuels nada
Même pas les traits du visage
Une relation à contre-jour
Obscure.
Mes chaussures d'hiver sont plus belles, na !
RépondreSupprimerSur les carrés, le diable...diable !
RépondreSupprimerIl faut trouver un diable à son pied.
Et si c' est une femme, il lui faut un diable à ses pieds !
ça roule, lacets tombés, sur le carrelage.
Un diable est aussi un filet fixe pour pêcher le hareng, mais en hiver seulement...
RépondreSupprimerUn diable au teint de grandes pompes !
RépondreSupprimer@ Marcel
RépondreSupprimer"Moi, mes souliers ont beaucoup voyagé ..."
@ Versus
Diable, quel commentaire ... c'est un diable qui l'a inspiré ?
@ JEA
Je ne connaissais pas cette définition.
Pas bon pour un hareng d'avoir le diable au corps ...
@ Isabelle
Autrefois, il fallait renoncer au diable et à ses pompes. Ainsi est-il représenté les pieds nus et crochus !
Argh...C'est un exercice difficile.
RépondreSupprimerLe diable s'applique toujours à fouler
aux pieds les choses sûres.
@ Carmelo
RépondreSupprimerOui, il a plus d'une corde à son pied :-)
Un diable se faisant cirer les pompes .... Tant qu'elles ne sont pas funèbres :)
RépondreSupprimer@ Marie
RépondreSupprimerIl peut aussi se faire sonner les cloches :-)