Sur la pierre grise qui tissait les fils du temps
La lave incandescente avait traversé les strates
Consumant le vase qui lui servait de réceptacle.
Dans quelques jours
Dans quelques heures
Elle aurait fini de déverser sa peine.
Il ne resterait que des scories
Grises comme la pierre
Qui lui servait d’assise.
Lave ou bave ?
RépondreSupprimerJe souris quand je lis le commentaire de JEA :)
RépondreSupprimerParfois il faut peu de chose pour que la peine s'effrite mais les frites c'est bon ! ( certes pas le matin ) :)
Désolée petite dame , je ferais mieux la prochaine fois :)
Bisous :)
Belle exploitation d'une situation banale à des fins poétiques.
RépondreSupprimerStries de strates ?
RépondreSupprimerLe sang minéral.
RépondreSupprimer@ Jea
RépondreSupprimerQu'elle lave ou qu'elle bave, la matière laisse toujours des traces !
@ Marie
L'érosion dans l'huile ? :-)
@ Marcel
Merci. Les situations banales ont droit aussi à leur heure de "gloire".
@ Versus
Stress de street ! Gloups !
@ Gilbert
Celui qui fait fondre la pierre !