
Moi avec mes principes d’égalité, j’ai négocié que nous obtenions chacun une corde pour nous pendre ; mais quand ils nous les ont montrées, j’ai compris que même dans la mort, il n’y avait pas d’égalité.
A toi, mon maître, une belle corde verte tressée dans une matière noble, arrogante et fière.
A moi, un vulgaire ruban de caoutchouc aux allures de matériau de récupération.
Et toi, égal à toi même, tu ne m’as même pas proposé d’échanger.
Bah, je préfère fermer les yeux !
Un peu plus tôt, un peu plus tard !
Je présume déjà du sort qui m’attend sur l’autre rive !
A toi, mon maître, une belle corde verte tressée dans une matière noble, arrogante et fière.
A moi, un vulgaire ruban de caoutchouc aux allures de matériau de récupération.
Et toi, égal à toi même, tu ne m’as même pas proposé d’échanger.
Bah, je préfère fermer les yeux !
Un peu plus tôt, un peu plus tard !
Je présume déjà du sort qui m’attend sur l’autre rive !
J'aime bien cette différence de statut entre les cordes...
RépondreSupprimer@ La plume et le page
RépondreSupprimerMerci. Mais, dis moi : de quel côté es-tu ?
Yes! Un beau texte.
RépondreSupprimerMerci d'être passé sur mon blog, ça m'a fait découvrir le tien ! Les mots et les photos, un délice ! Bravo !
RépondreSupprimer@ Sophie
RépondreSupprimerBienvenue et à bientôt, ici ou ailleurs.