Une découpe
dans un monde en mouvement
une larme
bleue qui simule l’apaisement
souffle le
vent qui apaise les tempêtes
et le
roulis qui démange les saisons
Belle
tendresse que celle issue des flots
Caresse
immuable et long frémissement
J’ai ouvert
le hublot de l’indifférence
Derrière le
plastique ébréché
sont
apparus les cieux
confondus
avec le bleu des mers
et le chant
des oiseaux
qui se
noient à jamais
dans un
monde qui s’ouvre enfin.
C'est très très beau ! J'aime !
RépondreSupprimerMERCI et bonne continuation
Si l'on regarde l'image en écoutant le groupe... hum on plane Merci. Je ne sais pas faire de belles images et je le regrette car à Nice il y a des coucher de soleil fabuleux... que 'imprime dans ma mémoire émotionnelle.
RépondreSupprimermais vous avez d'autres talents de narration et votre histoire est pleine de fantaisie !
SupprimerUne fenêtre sur l'inconnu et le rêve!
RépondreSupprimerCe texte est une pépite. Vermeille et merveille comme l'est la mer.
RépondreSupprimerTa photo est à tomber raide.
Un trou dans la toile qui ouvre l'immensité. Du monde et du Beau...
Amitiésl
Un beau texte qui apaise le cœur et l'esprit !
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