Au ras des fougères
Dans ton
œil, celui qui n’était pas aveugle, apparaissait le monde et ses vastes
continents.
Tu ne
parlais rien d’autre que le langage des yeux.
Sur le
front seul un tatouage ésotérique attestait de ta provenance lointaine…
A l’ombre
de ton ombre
Ultime
nourriture
une fougère si basse
Que même le
vent ne pouvait pas l’atteindre...
la fougère caresse ses lèvres
RépondreSupprimerdans son monde intérieur
il rêve !
joli billet
C'est beau, bien écrit.
RépondreSupprimerJe suis contente de pouvoir me mouvoir avec mes deux jambes... :)
RépondreSupprimerPour élever l'esprit, ne pas hésiter à passer par le ras du sol !!!
RépondreSupprimer@ Marty
SupprimerUne vue limitée laisse de la part au rêve.
@ Marcel
Merci.
@ Thérèse
:-)
@ :)
L'esprit n'aime pas les limites de l'espace, en effet !
Après quelques tempêtes, et pluie diluviennes ,peut être arrivera t'il à sortir un bras, puis l'autre et s'extirpant de la terre courir découvrir le monde
RépondreSupprimerJe crois ...mais c'est mon avis ...que son concepteur a réduit les frais en ne le dotant ni de bras ni de jambes. Qui vivra verra :-)
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