Bjr - Merci pour votre passage sur mon blog Des images et des mots , belle idée sacré points de vue ici , et une réalité souvent pesante ! Bon dimanche Pat
A Marche-en-Famenne (Belgique) serait ouvert le "Musée de la Parole en Ardenne". A en croire sa présentation, ce serait un Musée « sans mur ». Donc pas de disque de querelles à propos de la présence ou non de crucifix accrochés aux murs...
Mais derrière le mur...Il y a quoi derrière le mur ? Des croisillons où grimpent la glycine, grappes lourdes de vie. On y entend l'été les lamentations butineuses des abeilles. Il y des toi, des moi et des autres qui donnent envie de se hisser à ces croix-carrefour. On entend le rire des enfants.
Bjr - Merci pour votre passage sur mon blog
RépondreSupprimerDes images et des mots , belle idée
sacré points de vue ici , et une réalité souvent pesante ! Bon dimanche Pat
A Marche-en-Famenne (Belgique) serait ouvert le "Musée de la Parole en Ardenne". A en croire sa présentation, ce serait un Musée « sans mur ». Donc pas de disque de querelles à propos de la présence ou non de crucifix accrochés aux murs...
RépondreSupprimerBonjour bonjour,
RépondreSupprimerJe cherche ce que tu as voulu dire mais je dois me rendre compte que je n'ai pas les neurones encore bien réveillés...
Désolée mais j'ai apprécié bien sûr les mots associés à l'image :)
Nous passons si souvent sans voir la "désillusion" de l'autre de ne pas être vu. :-)
RépondreSupprimerJ'aime l'image associée aux mots !
@ Pat
SupprimerMerci de votre visite.
@ JEA
Ah, s'il n'y avait que des crucifix pour habiller des murs ! Mais où donc accrocher les mots pour qu'ils restent audibles ?
@ Moun
Toi, les neurones pas bien réveillés, tu m'étonnes, peut-être que mes mots sont parfois sibyllins, mais ils m'emportent malgré moi :-)
@ Fifi
Le regard se pose là où il veut bien se poser, parfois il passe à côté sans se rendre compte, merci !
On vit toujours à l'ombre d'une croix...
RépondreSupprimerMais derrière le mur...Il y a quoi derrière le mur ?
RépondreSupprimerDes croisillons où grimpent la glycine, grappes lourdes de vie. On y entend l'été les lamentations butineuses des abeilles.
Il y des toi, des moi et des autres qui donnent envie de se hisser à ces croix-carrefour. On entend le rire des enfants.