Du vent
qu’elle a tressé
En longs
filetages dorés
Ne reste
presque rien
une
encoignure ombrée
Qui ne
réchauffe guère
Des veines
de mots
Perdues
dans l’aquatique
Blotties au
creux des pierres
Qui ne
réchauffent guère
Un visage
épars
Sur un
glacier de bronze
Plaqué aux
quatre vents
Qui ne
réchauffent guère
Des doigts
gourds
Qui ne
s’activent plus
Des mains
sculptées
Dans la
matière friable
Et mouvante.
Un post de circonstance avec cette dernière … offensive de l’hiver ? et l’arrivée de la…pleine lune.
RépondreSupprimer« Cadran solaire et faux ami, parlent tant que le soeli luit, et se taisent quand il s'enfuit… »
Belle photo.
...soleil...,off course
RépondreSupprimerC'est le manque de soleil qui a brouillé les lettres :-)
SupprimerIl neige aussi chez toi ? Ici, ça chasse sur la campagne, je guette l'arrivée des ours polaires !
En plaine, pas de neige, alternance nuages et soleil, juste plus « frais » que les jours précédents.J'oubliais : belle version de
RépondreSupprimer« Cry Me A River »
http://youtu.be/_sNhPXaLD7U
Merci pour cette version, mais je garde un faible inconditionnel pour Diana !
Supprimeret grâce à ces changements de temsp, tu nous offres de très jolis mots et ceux là, je les apprécie particulièrement
RépondreSupprimer: ne réchauffe guére !j'aime l'utilisation que tu as faite de ces mots ...
ravie de revenir enfin un peu sur les blogs autre que le mien ...
je t'embrasse Saravati
Le message du vent, de l'eau et des rêves qui se perdent dans la déchirure du temps ...
RépondreSupprimerAbracadabra gente dame
glisse sur une peau de banane :-)
@ NanouB
SupprimerContente que tu aies repris tes visites.
Avec les changements de temps, les mots semblent prendre leur envol même s'ils ne réchauffent guère.
Merci, belle journée et plein de bisous aux couleurs de l'espoir !
@ Marcelle
Ah, c'était donc vrai, tu m'as jeté un sort ! Mais je suis perspicace, passerai à côté :-)