lundi 4 avril 2011

Fond de blancheur




Le ciel était plombé et la mer était blanche.
A travers les gouttelettes éparpillées sur la fenêtre du train qui s’essouflait
À l’approche d’une gare supposée proche
Je voyais ces oiseaux gris
S’attarder les pieds au froid
Installés comme pour un festin
Aux senteurs d’herbes durcies

10 commentaires:

  1. La prochaine gare : "Le Capitole" ?

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  2. Images fugitives. Derrière la vite du train, un monde impalpable.

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  3. +

    mer blanche
    oiseaux en gare

    +

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  4. Jeu de l'oie pour faire passer le temps...

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  5. Les grands volatiles noirs
    qui picorent la mer.

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  6. c'est joli cette mer blanche jusqu'à l'horizon

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  7. D' un blanc qui bouge sa lenteur, des points noir vous crépitent dans les yeux,le vent siffle plus que trois fois !

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  8. les oiseaux sur terre entre ciel et mer

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  9. De la fraîcheur que l'on a envie de déguster comme une glace !

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  10. @ JEA
    Suivre les oiseaux zélés …

    @ Danièle
    Cette poudre qui amortit les bruits d’oiseaux

    @ Marcel
    Trop tard pour partir vers le sud !

    @ Les Héphémères
    Jolis pions en effet !

    @ Gilbert
    Nourritures terrestres qui ne réchauffent pas.

    @ Mu LM
    Sans vagues, calme absolu …

    @ versus
    Jusqu’à l’alcanuit !

    @ Gilbert
    Ils surnagent sans voler

    @ Virginie
    Senteurs craquantes mais peu parfumées !

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